La presse en parle

 

Charlène Duval vue par les critiques de Théâtre

"…une autre surprise en la personne de Charlène, alias Jean-Philippe Maran. Il donne vie à une journaliste de mode déjantée, plus vraie que nature, vieille croqueuse d’hommes et de diamants. Dans ce stéréotype de la féminité conquérante et loufoque, il excelle tout en gardant une sobriété de bon aloi. Ce jeune homme est incontestablement doué pour la comédie." (Garçons ! magazine)

" ...la caricature d’une chroniqueuse de mode qui intervient tel un chœur antique ne manque pas de sel. " (Zurban)

" Mention spéciale pour Charlène Duval qui incarne une Lucille Macaron sulfureuse dont les interventions désopilantes rythment le spectacle de façons tout à fait opportunes. Elle est emblématique à merveille de ce spectacle..." (Théâtre on line)

" À cet instant tout le glamour de Charlène magnétise le public qu’elle maîtrise au doigt verni et au clin d’œil complice. Ses brillants, ses robes qu’on devine cousues à même le corps, ses plumes et ses talons hauts ne sont là que pour nous rappeler que nous sommes face à une diva d’un autre temps, mais une diva tout de même." (reg@rd en coulisse)

"Avec sa voix usée par la cigarette, elle ressuscite les stars d’autrefois. Des femmes proches de leur public et que le public aimait en retour" (l’Express)

"Charlène magnétise le public, qu’elle maîtrise au doigt verni et au clin d’oeil complice" (Reg@rd en Coulisse)

"Charlène Duval belongs to the parisian nightlife in the same way as the river Seine belongs to Paris" (Crazy-formusicals.com)

"Charlène Duval, dont l’âge est mystérieux, n’en est pas moins moderne" (Double Face)

"Dans ce stéréotype de la féminité conquérante et loufoque, Jean-Philippe Maran excelle tout en gardant une sobriété de bon aloi. Ce jeune homme est incontestablement doué pour la comédie." (Garçons !)

"La très ensorcelante Charlène Duval a conquis facilement les 800 spectateurs" (Idol)

"Als Charlène Duval sang Jean-Philippe Maran französische Chansons im engen Schwarzen mit einer wallenden Federboa in schreienden Pink" - (Der Tagesspiegel)

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